9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 12:21

cantique de la racaille opus 2

Quatrième de couverture

 

Quinze ans après, Gaston sort de prison.

Comment un petit voyou qui se rêvait chef d'entreprise peut-il devenir paparazzo, medium et agent secret, avant de plonger dans les annales du monde et d'être sauvé par les charmes de l'amour ?

 

 

Mon avis

 

J'avais apprécié l'opus 1 et j'ai jubilé à l'idée de lire ce tome 2 !

Le début m'a plu : une photo de la société maintenant, pendant de la photographie de la société des années 90 qui faisait le fond du 1er opus.

 Une sorte de gourou, rencontré en prison, a la bonne idée de mourir en début de livre léguant ainsi une forte somme d'argent et surtout un appart à Gaston ! Exit les problèmes d'intendance à la sortie de prison on peut se concentrer  sur le reste ! Trouver un travail et là, comme dans le premier opus, Gaston cumule les affaires louches ... Et je ne peux vous en dire plus parce que je n'ai pas fini ce livre ! je m'ennuyais prodigieusement !

Partager cet article

Repost0
22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 13:19
les visages kellermanQuatrième de couv.

Lorsque Ethan Muller, propriétaire d'une galerie, met la main sur une série de dessins d'une qualité exceptionnelle, il sait qu'il va enfin pouvoir se faire un nom dans l'univers impitoyable des marchands d'art. Leur mystérieux auteur, Victor Crack, a disparu corps et âme, après avoir vécu reclus près de quarante ans à New York dans un appartement miteux. Dès que les dessins sont rendus publics, la critique est unanime : c'est le travail d'un génie. La mécanique se dérègle le jour où un flic à la retraite reconnaît sur certains portraits les visages d'enfants victimes, des années plus tôt, d'un mystérieux tueur en série. Ethan se lance alors dans une enquête qui va bien vite virer à l'obsession.



Mon avis

Euh, je me suis ennuyée. J'ai abandonné au bout de 70 pages !  Un thriller où rien ne se passe dés le début est rédhibitoire chez moi ! ou alors, on n'annonce pas ça comme un thriller ! à la rigueur comme un polar noir, un roman noir mais pas un thriller au suspens haletant ! Vous me direz, ça commençait peut-être à bouger à la 100ème page ? trop tard pour moi !


D'autres avis (beaucoup plus positifs) chez BOB

Partager cet article

Repost0
20 septembre 2009 7 20 /09 /septembre /2009 15:29
Résumé

Eléazard von Wogau, héros inquiet de cette incroyable forêt d'histoires, est correspondant de presse au fin fond du Nordeste brésilien. On lui laisse un jour un fascinant manuscrit, biographie inédite d'un célèbre jésuite de l'époque baroque. Commence alors une enquête à travers les savoirs et les fables qui n'est pas sans incidences sur sa vie privée. Comme si l'extraordinaire plongée dans l'univers d'Athanase Kircher se répercutait à travers les aventures croisées d'autres personnages, tels Elaine, archéologue en mission improbable dans la jungle de Mato Grosso ; Moéma, étudiante à la dérive, ou bien Nelson, jeune gamin infirme des favelas de Pirambu qui hume le plomb fondu de la vengeance.


Mon avis

J'ai commencé ce livre en juin dernier, avec enthousiasme. J'ai dû le rendre à la bibliothèque, 2 mois sont passés, je l'ai retrouvé avec joie sauf que le soufflé était retombé entre temps... Je me suis beaucoup moins attachée aux nombreux personnages tous plus ou moins liés ; l'hagiographie de Kircher, jésuite et grand scientifique (jusqu'à ce qu'on découvre qu'il avait dit énormément de bêtises) m'a vite saoulée, et pourtant, je suis historienne de base, il a vécu lors de ma période préférée à savoir le 17ème siècle avec la Guerre de Trente ans*, entre autre, mais rien à faire, peut-être trop érudit pour moi ? Pourtant, Umberto Eco, à qui l'auteur est souvent comparé, n'est pas mal non plus dans son genre et ne me rebute pas... J'ai tenté de suivre les personnages, Moéma, la fille paumée et droguée ne m'a pas retenue, Elaine, l'ex-femme d'Eléazard m'a agacée ; je me suis demandée ce que Nelson faisait là ; je me suis demandée quand le jaguar du colonel Moreira allait dévorer la femme de celui-ci ; l'ex-nazi servant de guide à Elaine sur le fleuve Paraguay m'a définitivement dégoûtée de finir ce livre : il narre une scène de torture qu'il a fait subir durant la Guerre et qu'il souhaiterait faire subir à Elaine. Scène qui enchaîne avec le journal d'Eléazard, à la lecture duquel je me suis demandée ce qu'il avait fumé...
Bref, j'ai tenu jusqu'à la page 182. Sur 766, c'est déjà pas mal, je trouve.
J'ai parcouru les critiques sur le net au sujet de ce roman. Toutes positives, très flatteuses. On va dire que la mienne est l'exception qui confirme la règle... Mais il me reste un arrière-goût en bouche, ce sentiment d'être, certainement,  passée à côté d'un très bon livre.



* en parlant de la Guerre de Trente ans, j'ai trouvé, dans mes mots-clés (ceux qui amènent sur mon blog) : "la guerre de Trente ans résumée en 3 lignes", j'avoue, j'ai bien ri :)


L'auteur a aussi écrit : Meduse en son miroir et autres textes ; Sites et monuments antiques de l'Algerie ; Le rituel des dunes ; La mémoire de riz et autres contes ; L'impudeur des choses.

Partager cet article

Repost0
18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 15:18

Quatrième de couverture

De retour d'une tournée de promotion pour son dernier livre, Lydia Strong, enquêtrice et romancière, trouve dans son courrier une cassette où l'on entend la voix désespérée d'une jeune fille. Une lettre jointe la supplie de retrouver Tatiana et " toutes les autres filles en détresse ". L'enquête commence à Miami, où Lydia et son collaborateur rencontrent les parents de Tatiana. L'accueil glacial que leur réservent ce milliardaire et son épouse albanaise, la disparition de deux témoins et la découverte d'un DVD macabre leur ouvrent une piste : celle de l'Albanie, où sévit un réseau spécialisé dans le trafic et l'exploitation de très jeunes filles destinées à une clientèle privilégiée...

Mon avis

Au premier abord, cela semble prometteur. Au deuxième, on est vite déçu. C'est creux, insipide. Je ne me suis même pas inquiétée pour Tatiana, la jeune fille enlevée. Quant à Lydia et son mari, j'ai eu envie de les baffer assez rapidement tellement ils semblaient mièvres, comme issus d'un Harlequin...
J'ai trouvé ça mal écrit, une écriture gentillette, un peu "Bisounours" pour un polar.

Bref, j'ai tenu une centaine de pages et encore en lisant en diagonale sur la fin...

Partager cet article

Repost0
25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 12:57
Résumé

Milanaise romantique, Emma décide de changer radicalement de vie en ouvrant une librairie de quartier baptisée Rêves&Sortilèges. Le charme et l'originalité de sa boutique résident dans sa spécialité : les livres consacrés à l'amour. Emma, qui semble s'être résignée au célibat depuis son divorce, na pas son pareil pour dénicher l'ouvrage qui aidera un client perdu sur la carte du Tendre. C'est évidemment par l'intermédiaire d'un livre qu'Emma retrouvera Federico, son grand amour de jeunesse. Alors qu'ils ne se sont pas vus depuis trente ans, tout se passe comme s'ils ne s'étaient jamais quittés. Si ce n'est que Federico vit à présent à New York, où il est architecte, marié et père d'une adolescente. Malgré tout, Federico et Emma entament une relation épistolaire, après avoir ouvert chacun une boîte postale dont ils sont les seuls à connaître l'existence...


Mon avis

J'ai cru mourir d'ennui ... Voilà, ça c'est dit !  Peut-être parce que j'ai accepté de lire ce livre pour de mauvaises raisons. Quand Suzanne de chez les filles me l'a proposé (comme à beaucoup d'autres blogueuses), j'ai vu l'histoire à l'eau de rose mais j'ai surtout retenu le côté création de librairie. Mon rêve étant d'ouvrir la mienne, quand je serai grande, j'y ai vu l'occasion de chopper quelques trucs, des idées intéressantes etc. Mal m'en a pris.

Le début m'a assez plu : on y assiste aux retrouvailles (un peu tiré par les cheveux à mon humble avis) de deux anciens amours de lycée. Ils vivent loin l'un de l'autre et mettent en place une relation épistolaire qui m'a très vite agacée. Emma est réfractaire aux progrès technologiques, soit. Cela leur permet de renouer avec le papier et le stylo, un bon point pour eux, je trouve qu'on ne sait plus s'écrire sur du papier (moi, la première), il est tellement plus facile d'envoyer un mail (bourré de fautes, tant qu'à faire). Cette relation épistolaire a son charme désuet. Mais leurs échanges sont mièvres, l'amnésie d'Emma sur leur relation passée tombe à point nommé afin que Federico nous raconte leur rencontre et les moments passés (ficelle un peu grosse ?). Sauf qu'il ne fait que les effleurer, pourquoi se sont-ils quittés ? Que s'est-il passé durant ces fameuses vacances ? Je ne vous cache pas que je n'ai pas eu le courage de lire ce roman en entier et que les réponses à ces questions sont peut-être en fin de livre... Si certaines parmi vous l'ont fini, merci de m'éclairer ! 
Très vite, ils se revoient et deviennent amants. À ce moment-là du livre (1/3), je me suis dit "Euh, et maintenant ? On va assister à la destruction du couple à cause de la distance, à cause de la femme de Federico ?" (oui, il est marié, sinon ça n'avait aucun sens :D). J'ai commencé à abdiquer quand Emma dit à sa meilleure amie "Federico va mal à cause de notre relation" (en substance) et qu'elle est prête à se sacrifier pour lui, pour qu'il aille mieux et mieux auprés de sa femme.  Elle a une notion du sacrifice qui m'a donnée envie de lui mettre des claques un certain nombre  de fois !
Comme je le disais, ces échanges sont mièvres, creux. Chacun raconte sa vie, ce qu'il fait avec de grands sentiments qui n'arrivent pas à la cheville de Stendhal. C'est "culcul la praline" ...  Emma parle vaguement de sa librairie où elle réussit tout ce qu'elle entreprend (le rêve hein ? ;) ; Federico  du monument qu'il est en train de faire construire : une bibliothèque (oh, quel hasard ! ) assez réputée et que son cabinet d'architecte et lui doivent agrandir sans la détruire. Quelques moments intéressants en architecture mais très vite effacés par les nombreux passages ennuyeux, sans oublier le passage sur le 11septembre ...
Ces échanges épistolaires sont entrecoupés par le vécu actuel d'Emma, sa librairie, ses amis, ses clients. Là aussi, j'ai été déçue. Beaucoup de références à la littérature italienne (logique, l'auteur est italienne) sauf qu'à force, c'est frustrant de reconnaître une référence sur 20 !! (joke ;)). Mais même ces passages là ne m'ont pas retenue. Des romans que l'on cite pour toutes les épreuves de la vie, à croire que  sans roman, on ne saurait vivre (bon, ok c'est le cas pour ma part mais je pense aussi par moi-même sans avoir besoin de livre comme béquille systématiquement. Soit, certains me donnent à réfléchir mais ce ne sont qu'une minorité).

Bref, j'ai craqué page 238 (oui, j'ai tenu jusque là quand même !) entre souffrance et  ennui.

Toutes mes excuses à l'auteur qui sera peut-être choquée par ma critique, à Suzanne de Chez les filles pour ce billet peu élogieux. On ne peut pas toujours tout aimer,  n'est-ce pas ? ;)

Partager cet article

Repost0
11 avril 2009 6 11 /04 /avril /2009 22:00
Quatrième de couverture

C'est en contemplant pendant trois jours et trois nuits, sans manger ni dormir, les ravages de la rivière en crue sur ses champs, l'eau stagnante qui d'un coup d'un seul a noyé ses terres, qu'Edgar Flétan renonce. Il renonce à ce combat contre les éléments pour préserver seigle ou sarrasin, à l'amour de la nature, aux mains tendues de ses voisins, à sa vie qu'il veut désormais changer. Il maudit ce qui compose son monde, la faune, la flore, les paysans, anciennement frères dans la lutte contre la nature. Et quand enfin l'eau se retire, laissant derrière elle ravage et désolation, Edgar n'est plus le même homme. Adélaïde, sa femme a beau expliquer à ses deux filles "qu'être paysan équivaut à se battre contre des moulins à vent et que les hommes - leur père était un de ceux-là - avait le droit de se lasser d'une telle folie, ancestrale de surcroît", l'entourage d'Edgar Flétan reste médusé par son attitude. Jamais ils n'avaient vu un tel désintérêt pour la terre. Et quand l'annonce est faite qu'il vend sa ferme aux enchères pour partir à la ville, tous sont d'accord pour dire que le paysan leur fait honte et qu'il attire les mauvais présages.


Mon avis

J'ai pas accroché du tout à cette histoire, l'écriture ne m'a pas retenue, trop de détails dans les descriptions des choses, des sentiments, des pensées. J'ai refermé le livre en pensant à tous ceux qui m'attendaient.

Partager cet article

Repost0
24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 11:37
Quatrième de couverture

" Le vent était trop âpre pour qu'on reste immobile longtemps. La femme regardait une vitrine. Elle était très vieille, enveloppée profondément dans des écharpes et un manteau matelassé. Elle pleurait... Elle pleurait, mais les passants la contournaient comme si elle était un obstacle inanimé, peut-être sans la voir, peut-être en refusant de la voir. Ils semblaient comprendre qu'une vieille dame sanglotant dans une rue glaciale était signe de malheur. Il suffisait de s'arrêter, de sourire, de l'aider, pour connaître son histoire... "
Le magasin de Lucia Müller-Rossi est un des plus beaux du quartier chic de Zurich. Ce que personne ne sait - ou ne veut vraiment savoir -, c'est que l'élégante antiquaire appréciée de tous, fait en réalité, et depuis de très longues années, en toute impunité, commerce de meubles et de tableaux volés par elle à des familles juives à Berlin, au début de la guerre. Jusqu'au jour où une survivante, passant par hasard devant sa vitrine, va reconnaître une petite table en marqueterie qui lui avait appartenue. L'histoire que raconte ce livre s'inspire de faits réels. Mais Michael Pye a écrit un roman et c'est en romancier qu'il va nous retracer l'itinéraire des deux femmes, Lucia la criminelle, et Sarah, celle par qui le scandale arrive. Que se passera-t-il quand elles seront face à face ? (Source)

Mon avis

Ce livre va inaugurer une nouvelle rubrique de mon blog : "Abandonnés en cours de lecture". Ça veut tout dire, je pense ...
La quatrième de couverture est prometteuse, très prometteuse mais le contenu du livre ne tient pas cette promesse, à mon humble avis. Michael Pye est un auteur de polar, j'ai cru pouvoir lire  un bon polar tiré d'une histoire vraie. Je me suis retrouvée dans un roman (jusque là rien de grave hein !) décousu, chaotique. Chaque personnage nous raconte sa vie durant la 2ème Guerre Mondiale, son vécu, son ressenti avec, en ligne directrice le magasin d'antiquités recelant beaucoup de meubles et d'objets pris aux Juifs. Mais je me suis perdue dans ces récits : quand un chapitre change de personnage, il serait bon de mettre son prénom ou quelque chose permettant de le reconnaître avant 30 lignes de lecture ! ça m'a perturbé ! (Certains diront qu'il m'en faut peu, soit...).Certains dialogues m'ont semblé sonner faux. Ça part un peu dans tous les sens en fait ...
Je me suis arrêtée à la moitié du livre, ça devenait une corvée de l'ouvrir et de tenter de me replonger dans l'histoire. Peut-être (j'espère) que la présence de certains personnages s'explique dans la 2eme moitié, je n'ai pas eu le courage de le vérifier.

Partager cet article

Repost0
8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 12:20
Résumé

Il y a bien longtemps, sur des îles aujourd'hui englouties sous les flots de l'océan Atlantique, s'étendait une contrée où le royaume de Faërie vivait en harmonie avec celui de la chevalerie, un monde de magnificence, d'aventure et de sombre magie. De ces Isles Anciennes, jadis, les ancêtres d'Arthur Pendragon s'étaient élancés pour atteindre les côtes de l'Angleterre... Et là vivait Suldrun, une princesse dont la beauté mélancolique déchaînait toutes les convoitises ; et pourrait servir l'ambition sans limite de son puissant et malfaisant géniteur, le roi Casmir de Lyonesse. Là vivait Suldrun, qui un beau jour vit surgir des eaux déchaînées le corps presque sans vie du prince Aillas de Troicinet...

Mon avis

Bon, il parait que c'est un monument de la Fantasy. Je ne dois pas être monument alors ;) Cela faisait longtemps que cela ne m'était pas arrivé : refermer un livre avant de l'avoir fini. Je m'excuse platement auprès d'Olivier qui me l’avait conseillé, mais j’ai pas accroché mais pas du tout du tout. Je ne me suis pas attachée aux personnages, j’ai trouvé Suldrun nunuche, Aillas un peu loin du super héros, les chapitres avec Dhrun et Glyneth m’ont donné l’impression de lire Hansel et Gretel, un conte pour enfants. Je me suis perdue dans les nombreux noms de lieux, de personnages. Bref, c'était pas ça quoi ! 

Je tenterai un autre auteur ou un autre roman de Fantasy, un jour :p Faut toujours essayer deux fois pour être sur, telle est ma devise :D

Partager cet article

Repost0

Menu


Fourre-tout 

  Semblerait que mon fan-club (aheum :D) ronchonne de mon peu de publications ces derniers temps... Je vais tenter de remédier à ça et d'être plus rigoureuse ! (j'ai bien dit "tenter" hein :D)

 

Légére modernisation du blog ! Je vous annonce la naissance d'une page facebook indépendante de ma page perso. Vous y retrouverez, outre les articles ici-présents (et à venir), des avis rapides sur des lectures qui ne feront certainement pas l'objet d'articles ici, des joies ou tristesses livresques.

Retrouvez-moi ! facebook.jpg 

 

PS : Je suis assez longue à répondre à vos comms. Pardon. Mais, ils me font chaud au coeur et je vous remercie de m'en laisser !

Pour me joindre : leslecturesdeRoudoudou(at)gmail.com
Fond d'écran trouvé chez Vladstudio

Rechercher

Lecture en cours !

 

Plein de choses...  Comme toujours :)

Archives

J'en suis membre !

Optimisé pour :

Mes livres sur Babelio.com


Ma Page sur Hellocotonhttp://www.wikio.fr