Quatrième de
couverture
Une critique sociale virevoltante et désespérée sur le non-sens de la vie au début du XXIe siècle.
Parce que Samuel l'a quittée, Hélène plante sa tente au milieu de son salon et s'y met à l'abri avec son chat d'Artagnan. Mais elle n'est pas au bout de ses peines : double toit ou pas, l'extérieur s'incruste...
Entre une mère hôtesse de l'air qui change d'amant comme de coiffeuse, un père juif rescapé de la Shoah, très pratiquant mais pas toujours moralement nickel, et les ouvriers sans papiers qui circulent devant ses fenêtres, Hélène n'a pas une seconde à elle.
Par touches cocasses ou graves, Laure Naimski dessine le monde un peu piqué d'une femme au bord de la crise de nerfs. Une fable tendue, caustique et désopilante sur la précarité et l'incohérence contemporaines.
Mon avis
Mitigé ... j'ai aimé le début, ça m'a amusée, cette femme qui pête un plomb et qui plante sa tente dans le salon après avoir été plaquée par son mari. mais très vite, ça m'a lassée, je me suis demandée où l'auteur voulait en venir. et je l'ai fini sans avoir eu le sentiment d'avoir avancé...
bref, moyen quoi ...